Un peu de Cyberdélire, des films et des cabines téléphoniques... |
10 Octobre 2007 |
Pour l'amusement intellectuel : Comment faire le lien entre Da Vinci, Greenpeace, les cabines téléphoniques, des effets spéciaux graphiques, des cornets de glace et des téléphones cellulaires... En dehors de quelques films, le piratage informatique au cinéma se limite en général à des fenêtres illisibles, des écrans noirs, une écriture verte (qui ressemble parfois à une écriture cyrillique, du coréen ou du chinois simplifié), des écrans ultra-simples pour des pseudo-spécialistes (on est au cinéma, alors vous avez le choix entre «Access denied» et «Authorized Access», sans transition entre les deux).
Les cabines téléphoniques sont encore partout et plus pratiques que le portable (on est sûr d'avoir le réseau téléphonique) : Bande dessinée Olivier Rameau (et la Blanche Colombe, monsieur Pertinent...) lors du Grand voyage en Absurdie, les films Matrix (Matrix, Matrix Reloaded, Matrix Revolutions...), Hackers, Cybertr@que / Takedown, Antitrust...
Accessoirement j'ai trouvé la dernière nuit blanche à Paris un peu décevante (nuit du samedi 6 au dimanche 7 octobre 2007) un peu décevante, limité autour de la ligne 14, entre l'animation autour de la dalle des Olympiades (des bouches d'égout lumineuses crachant de la fumée, des voitures avec des plantes, des projections sur des tours...) et celles sur le terrain Cardinet (des paraboles et un pseudo-train de nuit en moquette), rien de bien fabuleux à traverser à toute vitesse pour éviter les fanatiques de rugby (match de coupe du monde malheureusement gagné parla France) : concert d'orgue à Notre-Dame, Musée d'art et d'histoire du judaïsme, des lotus gonflables sur le pont Louis...
Pour prévenir les questions du style «pourquoi un tel article ?», attendez un peu : ce n'est pas qu'un test sur le référencement des cabines téléphoniques. Quoique, un concours de référencement sur ce thème serait original...
@+ Gaby
Publié dans la catégorie : Cyberdelia
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