G a b y ' s   B l o g

Bonnes fêtes tout le monde ! (je sais, Noël c'était hier... mais tout le monde ne le fête pas !) J'en profite pour lancer une petite réflexion tant que la Saint-Sylvestre approche (le 31 décembre, veille du nouvel an que l'on peut espérer prospère et heureux pour tous...).

Une réflexion concernant simplement la façon de faire la fête... Suite à des échos et des souvenirs de fêtes de collège / lycée, mais aussi sur un constat concernant les boites de nuit, discothèques, dancing et autres de lieux de fêtes «modernes». Notamment pour ceux et celles de mon âge (entre 20 et 30 ans), plus jeunes ou plus agés... Quelques questions sur les façons limites de faire la fête : est-on obligé d'en faire trop ? de se désinhiber totalement (drogues plus ou moins dures comme l'alcool, shit / haschich / beuh, ectasy...) ?

La réponse paraît évidente : non ! Mais on le voit au moins avec l'alcool, la publicité de la prévention routière le rappelle régulièrement : la façon de faire la fête est parfois (?) assez abusive ; je ne commenterai donc pas sur les autres drogues (ça se passe de commentaires). L'actualité ne passe même plus sur les beuveries étudiantes (ou non), les raves-party (même plus sur le principe ou les overdoses)...

Désir de boire jusqu'à plus soif (ou dans l'objectif avoué d'être soûl), fumer du shit / haschish / beuh pour se déshiniber (un petit effort devrait suffire ?), consommer de l'ectasy pour l'extase, ou autre chose simplement parce qu'il s'agit de «faire la fête»... C'est presque caricatural et à la limite de la légende urbaine, mais cela doit être malheureusement réel dans certains groupes ou milieu, plus ou moins habitués de la fête...

C'est peut-être pour ça que je ne fréquente pas les lieux de fête «à la mode»...