Légendes urbaines : la suite et exemples ! |
06 mars 2005 |
Suite à mon premier article sur ce sujet, je me suis apercu que beaucoup de gens sont passionnés par les légendes urbaines, malgré un faible nombre de sites internet de qualité sur le sujet. Pourtant on recense de nombreuses légendes et rumeurs circulant autant par le téléphone arabe (bouche à oreille) que par internet...
Pour commencer, le premier article sur les légendes urbaines, Cliquez ici ; ainsi que la vérification des canulars et rumeurs, venez par ici !
Pour citer les plus célèbres légendes urbaines : - Bloody Mary et candyman, adaptés au cinéma : le fantôme meurtrier qui apparait quand on prononce son nom devant un miroir...
- Le fantôme auto-stoppeur (jeune fille ou vieille femme) qui hurle et disparaît dans un virage dangereux...
- Les crocodiles dans les égouts (de New York à Moscou...)
- Adaptation de faits divers (de la tournante à la drogue de boite de nuits en passant par les meurtres et les accidents de la route), souvent fausse ou invérifiables
- Les blagues «sanguinolentes», racontées autour d'un café mais auquels on croit facilement... et que l'on raconte ainsi de proche en proche !
- Sans compter les légendes urbaines avec du paranormal, de l'ésotérisme, des extraterrestres : sorcières et fantômes à gogo !
Quelques liens :
Légende urbaine : «Histoire étrange et spectaculaire apparemment véridique souvent inspirée d'un lointain fait divers qui fait le tour du monde circulant de bouche à oreille, par courriel ou via Internet. Qui est racontée de bonne foi par des gens sincères, déformée ou amplifiée par chaque narrateur mais qui la plupart du temps s'avère totalement fausse»
Comment créer une légende urbaine ?
Je ne vous conseille pas d'en créer, mais pour s'amuser pendant un voyage un peu long ou une soirée ennuyeuse... Un peu d'imagination suffit ! À lire et à écouter certaines histoires, pas besoin d'en avoir beaucoup : reprendre un évènement d'actualité et imaginer ce qui s'est réellement passé...
Un jeu : une (ou plusieurs) personne(s) doi(ven)t deviner un crime en ne posant que des questions «fermées» (réponse oui ou non). La rêgle est simple : la question se termine par une voyelle : «oui», par une consonne : «non» (les personnes qui répondent ont intérêt à bien connaître la grammaire et l'orthographe...). Celui ou ceux qui posent les questions ne doivent pas connaître la rêgle, on leur fait simplement croire que l'on a créé une énigme de toute pièce... ce jeu de questions / réponses permettent d'obtenir des histoires tout aussi tordues que les légendes urbaines.
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Gaby
Publié dans la catégorie : Gaby's Blog
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